Chapitre 2 Quelques minutes plus tard

J’étais dans ma douche, j’entendais des bruits sourds venant de mon salon.

Merde je n’ai rien sur moi en guise de protection…peut-être la brosse à dent. Nu comme un ver, je me précipita hors de la douche en laissant couler l’eau pour ne pas éveiller des soupçons. Comme de fait en jetant un petit œil dans le couloir je voyais des silhouettes ombragées sur mon mur et j’entendais aussi des voix masculines et je crois féminines VLAMMMM J’ai sentis une douleur à la tête, je me sentais tomber comme la serviette qui m’entourait le sexe…je… Je me suis retrouvé dans les champs…avec mes parents respectifs. Je me rappelle comme si c’était hier, mes parents m’amenaient souvent là-bas pour s’amuser entre famille.. J’avais ma suce dans la bouche. Maman me promena partout et même dans des endroits près de la rivière ou que je n’avais pas le droit d’aller…son truc c’est qu’elle me prenait avec elle dans un harnais. Je pouvais aller partout avec ma Maman. Je l’aimais tellement. Un jour.. je gambadais et je suivais un petit papillon. Je me suis vite rendu compte que je m’éloignais de la place que ma Maman m’avait indiquée. Le papillon virevolta longtemps jusqu’à la dite rivière que je ne pouvais m’approcher. J’osai m’approcher..sous peine d’avoir une fessée, le papillon était trop beau…J’ai sentis une présence énorme derrière moi. TAGADAP TAGADAP TAGADAP

GROAAAARRRRRRRRR Les pas étaient de plus en plus bruyants. Et les cris m’a fait faire dans ma couche. J’avais très peur. J’entendis des coups, des cris, des branches qui se cassent. Le temps de retourner, ma Maman se battait contre un ours… Ma Maman n’avait peur de rien…surtout me concernant J’ai été agrippé par une personne mais pas par ma Maman mais des secours qui essayèrent tant bien que mal de faire fuir ce mastodonte Quelques minutes plus tard Quelques égratignures, morsures. Le pachyderme en question s’en alla et ma Maman gisant sur le sol à bout de force. J’essayais de me déprendre de mon emprise pour accourir vers ma Maman mais ce ne fut pas le cas les bras d’une femme résistaient fort bien à mon gigotement. Ma Maman ne se relevait pas…je pleurais à chaude larmes…elle m’avait sauvé pour finir sur le sol dans un corps inerte..sans vie Je m’éloignais de son corps..